Roman Adrian Tchaikovsky, le prix d’Arthur K. Clark en 2016 a été heureux de lire une bonne science féroce qui n’oublie pas les interactions humaines.
Résumé: La Terre est maximale mauvaise … Ses derniers résidents n’ont qu’un seul espoir: la colonisation de “Kern -World”, une planète lointaine, particulièrement terrorisée pour les espèces humaines. Mais dans ce «monde vert» céleste, tout s’est passé alors que les scientifiques attendaient. Une autre espèce que celle qui était prévue, a aidé Nananirus parfaitement adapté à ce nouvel environnement, et il n’a pas l’intention de quitter sa place du tout. Le choc de deux civilisations est aussi différent que possible. Qui deviendra les héritiers de l’ancien pays? Qui sortira du temps de toile monté sur piège? “

Eh bien, tout d’abord, cela m’a fait plaisir de lire un bon roman scientifique dur qui a eu lieu jusqu’à la fin. Mais je suis resté sceptique quant à la performance évolutive, et derrière la “race” inhumaine du livre.
Non, de manière décisive, malgré toutes les idées intéressantes et très bien apportées, je l’ai lue sans croire trop, trop mal.
Compte tenu de cela, j’ai admiré la capacité de l’auteur à nous montrer une autre façon de voir le monde, une autre psychologie au travail, je recommande le livre.



Super Hero

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