Le nouveau Jérémie est venu avec un script qui revient un peu aux sources: nos héros arrivent dans un nouvel endroit, ils sont mélangés avec une histoire sale, stockés sur le côté des Gentils et conservent la situation. Retour aux fondements dans le sens où nos personnages sont des acteurs de l’histoire. Ils choisissent délibérément leur camp et leurs actions, ils agissent consciemment.
Donc, un millésime honnête qui se réconciliera avec la série que j’ai gagnée.

Un ami célèbre revient pour dire bonjour. C’est ainsi que j’aurais résumé ce nouvel opus Spirou. Il y a des bases, nous avons un bon moment, trouvant ce que nous aimons, mais nous ne tirons pas surtout. Il n’y a aucun effet des méchants, mais à la fin, c’est un bon endroit pour le repos, ça fait aussi du bien.

Surprise de la semaine, le retour de Bruno Brésil, le héros de l’espionnage / action des années 70, peint par William Vens sur l’histoire de Greg.
Cette fois, Philip Aimond dans le script, Laurent Frederick Pain in Dessin.
Et le résultat … pas nécessairement réussi.
Les auteurs conservent Bruno au Brésil à son époque, en 1977 et dans la continuité du massacre, qui a réduit le ka-Kommand, laissant soit deux fois pour Alac 6.
Nous pensons que les auteurs voulaient donner une épaisseur psychologique aux héros, y compris le Brésil au milieu du port traumatisant, mais à mon avis, tout le monde sonne faux.
Et je trouve aussi que l’image manque cette élégance qui a fait du charme VNES.
Fermé par l’album, je me suis dit que j’avais vu le vieux film de Charles Bronson, qui serait tourné aujourd’hui.
Dommage que le personnage redémarre, mais à mon avis, il manque.