Deux BD aujourd’hui.
Après Zorglub, voici le Comte Champignac. Dupuis continue de développer la série Spirou.
Eh bien, c’est totalement réussi.
Sérieux mais pas ennuyeux, avec l’action juste, intelligent dans les relations entre les personnages, livré avec une image vraiment sympa, telle est la qualité de Dupuis.
Le Champagne n’est certes ni James Bond ni Spirou, mais il sait s’en sortir avec son esprit Jean Rochefort.
Bref, une dose parfaite pour une série que j’espère voir continuer prochainement.
En face du vieux comte Mickey.
J’apprécie vraiment la réimagination actuelle des personnages Disney que Glénat propose. Et l’œil était déjà heureux de voyager sur les pages de l’océan perdu.
Ceci et cela… tout cela pour ça. Un décor passionnant sur la plage, un univers riche et magnifique, une idée folle (changer la polarité de l’eau…), tout cela afin d’accélérer la résolution de l’intrigue en deux cuillerées.
C’est vrai, j’ai relu l’album deux fois en me disant que j’avais raté quelque chose, mais non c’est tout. C’est comme si le scénariste partait avec 80 pages et que le monteur lui disait en plein projet : “non mec, il faut le couper”.
Bref, 8 sur 10 pour l’image et la mise en page, 5 sur 10 pour le script.
Déçu, déçu…