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Les fictions
- Wollstonecraft, Sarah Berthiaume – 22$/22€
- « Marie est autrice. Son dernier roman a soulevé l’ire de ses modèles féministes et l’a laissée vidée, incapable d’écrire. Après plusieurs fausses couches, suivant des conseils obtenus par télémédecine, elle conserve ses fœtus au congélateur afin de les soumettre à des tests, pendant que Perceval, son chum, coécrit des poèmes avec l’algorithme qu’il a créé et que son amie Claire, ancienne comédienne, gravit les échelons de la vente de Tupperware. Par une sinistre nuit de novembre, alors que la pluie fouette les vitres et que retentissent les cris stridents d’une imprimante 3D, Marie accouche d’une idée funeste qui va tout faire basculer. S’inspirant librement de la vie de Mary Shelley et de son Frankenstein, Sarah Berthiaume sonde les abysses de la création et de la procréation dans une comédie gothique, féministe et dystopique qui dissèque nos propres monstruosités. »
- Kanatuut, Natasha Kanapé Fontaine – 24,95$/13,99€
- « Que signifient ces manifestations étranges en connexion avec les personnages innus ? Est-ce l’intérieur des terres, le Nutshimit, qui souhaite reprendre contact avec le peuple, le réinviter dans ses sentiers pour qu’il recouvre sa mémoire ? Qu’est-ce qui réside dans le territoire, que les Blancs n’ont jamais trouvé, mais qui a toujours ramené les Innus vers le nord, en plein coeur des hivers les plus hostiles ?La forme courte des nouvelles permet à l’autrice de soumettre le lecteur à sa vision du monde qui l’entoure, elle, au quotidien. Ce dernier est fait de surréalisme, de réalisme magique, d’onirisme ; de créatures fantastiques ou réelles de la tradition orale, d’esprits de l’animisme ancestral qui habitent l’univers contemporain ; de la relation avec un territoire sans merci, qui donne néanmoins aux protagonistes la puissance nécessaire pour survivre dans un monde qui va à l’encontre de leurs valeurs. »
- Dans la lumière de notre ignorance, Marianne Marquis-Gravel – 24,95$/14€
- « Ils enseignent dans le même collège, mais ne se sont jamais vraiment rencontrés jusqu’au jour où le destin, avec la complicité d’un rêve et d’une panne d’électricité, les réunit. Ils ne se quittent plus, achètent une maison ; ils vivront heureux, en lisant et en écrivant, auront sans doute un enfant qui sera leur plus beau livre. Mais voilà que la belle histoire à peine commencée est foudroyée par l’implacable diagnostic : il a un cancer incurable, l’avenir est désormais un sablier qui fuit et chaque étreinte manquée est une éclipse terrible. »
- Mouron des champs, Marie-Hélène Voyer – 21,95$/18€
- « Mouron des champs dit l’histoire de vies dures et empêtrées, de destinées de filles de fermiers, de pauvresses du bout du rang, de mères travailleuses infatigables aux désirs corsetés. Revitalisant brillamment le vocabulaire des parlers populaires, Marie-Hélène Voyer fouille les lieux de vie familiaux où se resserrent l’emprise de la domesticité et la violence de la contention. Cette poésie profonde et tassée comme un pain de mie porte la voix des mortes et met en lumière les encagements du passé. Mouron des champs, suivi de l’essai Ce peu qui nous fonde, est l’occasion pour la poète de revenir sur la disparition de sa mère, cette femme de cendre qui s’effondre, sur les ombres qui planent depuis l’enfance et sur l’affranchissement que permet l’écriture. Un souffle d’amour pour apprendre à vivre. »
- Il y a des joies dont on ignore l’existence, Ouvrage collectif – 20,95$/13,99€
- « Une jeune femme adoptée par un couple de Québécois qui trouve du réconfort dans un restaurant, une enseignante de Montréal-Nord qui reconnecte avec ses racines grâce à ses élèves, deux femmes qui trouvent l’amour aux abords de la 40, une famille choisie qui imagine une maison de retraite en Gaspésie, un-e poète qui partage des portraits de ses ami-es, une religieuse qui joue au ballon-chasseur, une enfant qui apprend à retirer son nom de la bouche des autres, une fille qui trône sur une charrette, des chants religieux qui nous ramènent à la maison, la tête qui nous tourne dans une quinceañera, un périple depuis la plage vers Hochelaga, une série de réflexions sur notre rapport au monde. »
La poésie
- Ce qui est tu, Caroline Dawson – 20,95$/19€
- « Dans ce livre, Caroline Dawson s’adresse à son fils qui célèbre ses 7 ans, le même âge qu’elle avait lorsqu’elle a immigré au Québec, pour lui raconter tout ce qu’elle a eu d’abord l’instinct de taire : l’exil, le racisme, la honte. Avec une écriture soignée cherchant à traverser les frontières entre la poésie et le récit, l’autrice répare la césure qui sépare la réfugiée timorée dans un monde inconnu de ce garçon téméraire, trilingue et amoureux des bestioles. Ce qui est tu bâtit minutieusement de véritables ponts entre les expériences et les générations, de manière à donner en héritage non pas la honte, mais rien de moins que la beauté du monde. »
- Exercices de joie, Louise Dupré – 22$/15€
- « Troisième recueil d’un triptyque sur les possibilités du poétique face à l’horreur et à la détresse, Exercices de joie prend le risque de la tendresse en choisissant la douceur comme arme de combat. Dans une écriture fluide qui alterne entre prose et vers, les poèmes explorent la notion de joie, non seulement comme quête d’apaisement, mais comme responsabilité à l’égard des autres : le souci de leur apporter espérance. »
- Chose sensible suprasensible, Mélanie Landreville – 20,95$/13,99€
- « Ce qui est enfoui risque d’exploser vif. Une enfance, par exemple. Une enfance de douleurs enfouies dans une personne pourrait exploser. « Ton frère s’est tué », dit la voix de la mère au téléphone. Dès lors le monde, tout impraticable qu’il était, infesté de violences patriarcales, se défait pour de bon. »
Les essais
- Troubles, nos ombres, Jennifer Bélanger – 25,95$/23,50€
- « Jennifer Bélanger aménage un espace sécuritaire où peuvent s’exprimer librement les personnes LGBTQ2IA+, hors des injonctions au bonheur et à la célébration. Ici, les ombres sont invitées à troubler la parole, avec leurs bagages remplis d’enfances difficiles, de traumatismes sociaux, de violences conjugales et de blessures encore vives qu’il importe de nommer pour valoriser nos expériences singulières, plurielles, complexes. »
- Les têtes brûlées : carnets d’espoir punk, Catherine Dorion – 29,95$/14,99€
- « Pendant son mandat, Catherine Dorion a tenu un journal, relevant tous les moyens par lesquels le pouvoir colonise les êtres, les peuples et notre avenir. Il en ressort un texte qui est tout à la fois un récit d’aventures, avec des batailles enlevantes et des scènes d’émotion brute, et une réflexion profonde sur les nouveaux chemins qu’il faudra débroussailler pour s’évader du carcan de solitude et de désespoir dans lequel nous sommes pris. »
- Hors jeu : chronique culturelle et féministe de l’industrie du sport professionnel, Florence-Agathe Dubé-Moreau – 24,95$/18€
- « De plus en plus de femmes sont visibles dans le sport professionnel masculin. De spectatrices, cheerleaders ou conjointes d’athlètes, elles atteignent désormais les rangs de coachs, d’arbitres et même de directrices d’équipe. Est-ce un mirage ? Qu’en est-il exactement ? À partir d’une posture d’exception, celle de partenaire d’un joueur célèbre, mais aussi d’intellectuelle engagée parachutée sur un terrain de football à Kansas City, Florence-Agathe Dubé-Moreau déconstruit un à un les mythes entourant les femmes dans l’industrie. Haut lieu de reproduction des pires stéréotypes de classe, de race et de genre mais aussi lieu de résistance. »
- Les hommes et le féminisme, Francis Dupuis-Déri – 20,95$/17,90€
- « Opportunisme, fumisterie ou solidarité ? Théâtre politique ou alliance véritable ? Les féministes ont vu neiger. Tant d’hommes font mine de rejoindre leurs rangs pour des motivations douteuses, qui n’ont rien à voir avec l’émancipation des unes ou le disempowerment des autres. Dans une enquête passionnante qui puise dans l’histoire méconnue des hommes proféministes et de leurs engagements en Europe, en Afrique, en Asie et dans les Amériques, l’auteur rappelle que cette posture paradoxale peut entraîner son lot de problèmes pour les féministes elles-mêmes, qui ne souhaitent ni mener la lutte en vase clos, ni voir des hommes l’usurper (en portant une cape de superhéros). »
- S’engager en amitié, Camille Toffoli – 20$/14€
- « Lieu de grande liberté, de partage et d’intimité, les amitiés se déploient sous toutes sortes de formes. Qu’elles soient brèves ou s’inscrivent dans la durée, elles nous façonnent comme individus. Dans un essai très original et sans tabou où se croisent témoignages et expérience personnelle, Camille Toffoli a voulu montrer combien les amitiés peuvent influencer nos parcours individuels et jouer un rôle politique, car elles ont le potentiel de transformer le monde dans lequel nous évoluons. Pourquoi ne pas redonner à l’amitié une place centrale dans notre société? S’engager en amitié est une invitation à explorer la force des amitiés et en révéler tout leur potentiel émancipateur. »
- Pissed pestes puissantes, Ouvrage collectif – 24,95$/16,99€
- « Le recueil Pissed pestes puissantes fait suite au collectif Folles frues fortes. Toutefois, cette fois-ci, le projet rassemble exclusivement les voix d’auteur·ices racisé·es pour faire entendre différents récits dans une perspective intersectionnelle. Ce recueil est l’occasion de réfléchir aux différentes formes que peut prendre le féminisme autour de trois figures – la colérique, la mauvaise, la redoutable – des stéréotypes, négatifs et positifs, auxquels les personnes racisées sont souvent associées. Les auteur·ices ont ainsi pu produire des textes afin de se réapproprier ou de subvertir ces clichés. »
Les livres d’histoire
- Le Bus des femmes : Prostituées, histoire d’une mobilisation, Anne Coppel, Lydia Graggiotti et Malika Amaouche – 37,95$/20€
- « En pleine épidémie de sida, des prostituées interpellent les pouvoirs publics sur leur santé et les conditions d’exercice de leur métier. Leur action, contemporaine de la création d’Act Up-Paris, conduira à la création du Bus des femmes en 1990. Un document historique rarissime qui témoigne de l’histoire des mobilisations citoyennes, un exemple unique de class action chez les prostituées. En 1990 à Paris, alors que l’épidémie de sida produit chaque jour plus de ravages, des prostituées se mobilisent et interpellent les pouvoirs publics. Huit grands cahiers jaunes à la couverture toilée circulent rue Saint-Denis et au-delà, sur les boulevards périphériques ou chez les marcheuses des Champs Élysées : les femmes y écrivent des « lettres de confidences » pour témoigner des conditions d’exercice de leur métier. Cette parole est rare. Fragile, elle fait surgir une réalité diverse et incarnée, violente et ordinaire : bataille du préservatif, peurs et rivalités, mais aussi dignité et revendication de droits et d’un statut social. Car les lettres recèlent aussi la force de l’écrit. C’est un exemple remarquable d’empowerment dans l’histoire des femmes, la naissance d’une conscience collective à l’issue heureuse : la création du Bus des femmes, première association de santé communautaire de prostituées, dirigée par des prostituées. »
- Une histoire des produits menstruels, Jeanne Guien – 33,95$/18€
- « Loin d’être un phénomène purement biologique, les règles et plus généralement le cycle menstruel forment une expérience socialisée. Chaque société développe une culture menstruelle dominante, faite de pratiques, techniques et représentations plus ou moins acceptables. Ce livre étudie la culture menstruelle propre aux sociétés consuméristes, dans lesquelles toute expérience (notamment, toute expérience du corps) tend à être associée à des produits marchands. À travers l’histoire de trois produits menstruels – les serviettes jetables, les tampons jetables et les applications de suivi du cycle menstruel – l’auteure poursuit son enquête sur le consumérisme, les objets du quotidien et le dressage des corps féminins. »
- De cendres et de braises : voix et histoire d’une banlieue populaire, Manon Ott – 50,95$/25€
- « Au pied des tours de la cité, à l’entrée de l’usine ou à côté d’un feu, Fabienne, Jamaa, Yannick, Antoinette, Momo et d’autres entreprennent, aux côtés de Manon Ott, un récit que d’ordinaire on entend peu. Il y a deux façons d’entrer dans ce livre. La face A est consacrée à l’histoire des cités HLM des Mureaux près de l’usine Renault de Flins. Ce portrait sensible et engagé d’une banlieue ouvrière en mutation est richement illustré d’archives souvent inédites et de paroles d’habitants. Les luttes politiques qui s’y déroulèrent font écho à tout un pan de l’histoire populaire de la France depuis les années 1960. Tandis que derrière les décombres des démolitions actuelles des tours et des barres de ces cités, derrière les grands feux de l’actualité, se déploie une autre scène : la face B, telle un carnet de tournage, raconte comment se réinventent, ici et maintenant, les petits feux d’une parole reconquise. Expérience documentaire, à la fois politique et poétique, De cendres et de braises est une histoire de rencontres qui a pris la forme d’un livre et d’un film. »
Les bandes dessinées
- Amours plurielles : déconstruire le modèle du couple hétéronormé, Laureana Alycja et Héléna Coussy – 37,95$/19,90€
- « Laureana, jeune trentenaire, découvre la relation polyamoureuse. Une bande dessinée qui interroge l’amour, l’hétéronormativité et les relations hommes-femmes afin de déconstruire la perception de l’amour romantique et se tourner vers une sexualité et une vie affective libératrices et émancipatrices. »
- Résister et fleurir, Jean-Félix Chénier et Yoakim Bélanger – 35$
- « Printemps 2020, en plein confinement, Jean-Félix Chénier enseigne le cours Utopies / Dystopies – Le point de bascule. Il décide de partir d’une lutte dans le quartier Hochelaga qui incarne parfaitement le sujet. La population s’y mobilise pour défendre un terrain en friche contre un projet de Ray-Mont Logistiques de transbordement de conteneurs. On retrouve d’un côté l’idéal de la nature et de l’autre les lois implacables du marché. Fruit d’une méditation sur la nécessité de forger une nouvelle sensibilité au territoire, Résister et fleurir met en images les échanges passionnants du professeur avec ses étudiant·es et le combat mené par la communauté pour un quartier à échelle humaine. »
- Atypiques ?, Karine Danan et Stomie Busy – 34,95$/18€
- « Cathy, une psychothérapeute, part en voyage en Egypte aux côtés de ses amis Jocelyne et Morgan. Des préparatifs précédant le départ aux diverses activités proposées sur place aux vacanciers, ce séjour est l’occasion pour tous les trois de découvrir leurs particularités respectives. Si Cathy élabore des cartes mentales, Jocelyne fait des check-lists et Morgan improvise en permanence. »
- Je pense que j’en aurai pas, Catherine Gauthier – 29,95$
- « Sous la forme d’une autofiction, à la fois roman graphique et journal intime, l’autrice aborde l’absence de maternité : un sujet épineux, empreint d’émotivité, qu’elle traite avec prudence, respect et sensibilité. Une introspection illustrée qui laisse place à l’interprétation et au questionnement. Chaque chapitre est entrecoupé de témoignages d’autres femmes qui expliquent pourquoi elles n’ont pas eu d’enfant. Des parenthèses dans le récit, comme autant de pistes à explorer.L’auteure aborde aussi l’épuisement, ou la dépression, qui peut influencer la décision d’une femme sur le fait de vouloir devenir mère. Un autre sujet délicat quelle aborde avec doigté. »
- Le seuil, Fanny Vella – 32,95$/17€
- « Malgré sa pétillance et son entrain naturels, Camille est empêtrée dans une relation toxique avec Jonathan dont elle peine à se départir. »
Les petits budgets
- Amour et amitié, Jane Austen – 5,75$/3€
- « De tous les talents ordinairement en possession de mon sexe j’étais la maîtresse. Au couvent, mes progrès avaient toujours été plus grands que ne le permettait l’instruction reçue, les connaissances dont je disposais étonnaient chez quelqu’un de mon âge, et je surpassai bientôt mes maîtres.. Toutes les vertus susceptibles d’orner un esprit se retrouvaient dans le mien. Il était le lieu de rencontre de toutes les qualités et de tous les sentiments élevés.. Mon seul défaut, s’il mérite ce nom, était de posséder une sensibilité trop vive, prompte à s’émouvoir de toutes les afflictions de mes amis, des personnes de ma connaissance, et plus encore des miennes. ».
- Plaidoirie pour l’avortement, Gisèle Halimi – 5,75$/3€
- « En 1972, l’avocate Gisèle Halimi représente la mère d’une fille mineure qui vient d’avorter de manière clandestine après avoir été victime de viol. Dans sa plaidoirie, elle défend le droit des femmes à disposer d’elles-mêmes et de recourir à l’avortement. »
- Une femme puissante, Marie Ndiaye – 5,75$/3€
- « Le parcours de Khady Demba, Sénégalaise rejetée par sa belle-famille à la mort de son époux. Elle est contrainte de migrer vers l’Europe et doit se battre pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible. »
- Pauline, George Sand – 5,75$/3€
- « Laurence s’installe à Paris pour devenir actrice tandis que Pauline s’occupe de sa mère aveugle. A la mort de cette dernière, Pauline rejoint son amie mais elle supporte difficilement la réussite de celle-ci. La situation s’envenime lorsque apparaît Montgenay, un vil séducteur. »
- En compagnie de Mrs Dalloway, Virginia Woolf – 5,75$/3€
- « Cinq nouvelles et autant de variations sur le roman Mrs Dalloway de l’écrivaine britannique, parmi lesquelles Mrs Dalloway dans Bond Street, La robe neuve, Ensemble et séparés, L’homme qui aimait son prochain et Une mise au point. »
Les livres jeunesse
- 3-6 ans : Et toi, ta famille ?, Charlotte Bellière et Ian De Haes – 24,95$/13,50€
- « Dans une cour de récréation, les élèves s’apprêtent à jouer au papa et à la maman. Cependant, en discutant, ils découvrent que certains enfants vivent dans des familles différentes. Ils adaptent alors les règles de ce jeu vieux comme le monde à leur époque et aux situations de chacun. »
- Blanche comme un drap, Chloé Varin et Rémi Allen – 21,95$
- « Un magicien peut passer des années à se pratiquer pour apprendre à disparaître. Moi je ne fais aucun effort. Je suis invisible sans le vouloir. Je suis Blanche (comme un drap). Il n’y a pas plus transparente que moi. Un récit enveloppant sur la quête d’affirmation de soi. »
- Dès 14 ans : Fé M Fé, Amélie Dumoulin – 14,95$/13,90€
- “Félixe remet le bébé pigeon qu’elle vient de trouver dans sa sacoche. Elle m’embrasse d’un côté, s’arrête, me fixe – ses joues sont toutes rouges d’excitation –, elle m’embrasse tout doucement de l’autre côté, puis repart sur son vélo à toute vitesse.— Je vais le sauver, Fé, tu vas voir, il va devenir grand, il va aller à l’université ! Je la regarde partir. Je pose la plume sur mon nez. En temps normal, je crois pas que je pourrais tomber en amour avec une fille. Mais une fille qui sauve un pigeon et qui l’appelle Clint, je pense que je vais faire une exception. »
- Dès 14 ans : Les hauts et les bas de Fish, Joanne Levy – 10,95$/6,60€
- « Fishel (Fish) Rosner, douze ans, n’aime pas les activités qui plaisent généralement aux garçons. Il déteste les sports et préfère lire ou faire du bricolage plutôt que de grimper aux arbres ou de faire du vélo de montagne avec ses amis. Il aime aussi danser. Tout ce qu’il aime est considéré comme des passe-temps de « filles », mais Fish ne comprend pas pourquoi ce serait une mauvaise chose. Il s’intéresse simplement à des activités différences des autres garçons. Quand il demande à sa Bubby de lui enseigner le tricot, elle lui dit d’aller jouer dehors. Quand il insiste pour que sa mère l’amène au cours de zumba, elle l’inscrit plutôt au water-polo. Pourquoi tout le monde décide-t-il ce que Fish doit faire ou ne pas faire? »
- Dès 14 ans : Ma première fois, Ouvrage collectif sous la direction Karine Glorieux – 24,95$
- « Les premières fois comme on ne vous les a jamais racontées. Sans filtre ni tabou. Si on se disait les vraies affaires ? C’est le pari de ce recueil de nouvelles qui propose des récits intimes diversifiés et surtout, toujours francs. Un baume idéal sur l’anxiété des premières fois. Avec ou sans Doritos. »